Week-end mitigé...
Alors, en ce week-end de Pâques, PIlou et moi on avait décidé de se surprendre... (puisque c'est bien de se surprendre ;-)
Donc on a tout pas fait ce qu'on avait prévu de faire... Mais sans avoir prévu de pas le faire.
Bon première étape, Napier, là on a raté, on avait dit on fait Napier et on a fait Napier. Sur la côte Est, c'est une ville qui a été complètement détruite en 1931 par un tremblement de terre, et reconstruite dans le style à la mode à l'époque, l'art déco.
Ca fait des couleurs pastels, de grosses formes géométriques. C'est marrant. Quand on est arrivés, il ne restait plus qu'une heure de jour, mais on a trouvé plus drole de se faire un mini golf, plutôt que de visiter... Ce fut l'autre thématique du week-end : l'obession Pilouesque pour les Mini Golfs.
A sa tête, là, devinez qui a gagné ?
Ensuite, on a pensé à se balader... ça vallait le coup :
Donc on a tout pas fait ce qu'on avait prévu de faire... Mais sans avoir prévu de pas le faire.
Bon première étape, Napier, là on a raté, on avait dit on fait Napier et on a fait Napier. Sur la côte Est, c'est une ville qui a été complètement détruite en 1931 par un tremblement de terre, et reconstruite dans le style à la mode à l'époque, l'art déco.
Ca fait des couleurs pastels, de grosses formes géométriques. C'est marrant. Quand on est arrivés, il ne restait plus qu'une heure de jour, mais on a trouvé plus drole de se faire un mini golf, plutôt que de visiter... Ce fut l'autre thématique du week-end : l'obession Pilouesque pour les Mini Golfs. A sa tête, là, devinez qui a gagné ?
Ensuite, on a pensé à se balader... ça vallait le coup :
Après, on file direction Taupo. Là, on avait prévu de faire du saut en parachute, le moins cher de NZ, et avec la vue de l'énorme lac en prime... Pour 150$, c'est donné... Enfin nous, on nous l'a pas donné. Pas vendu non plus d'ailleurs, puisque le samedi 15h, à notre arrivée sous un soleil de plomb, tout était booké. Pas grave, on réserve pour le lendemain et on tue le temps, toute l'après-midi, dans une ville qu'on a déjà faite.
Le lendemain, temps bof bof. Mais on y croit. On se pointe à 14:30, pour s'entendre dire que c'est annulé car le temps est "horrible". Mouais, bin ils doivent pas sauter des masses à ce rythme là, parce que moi j'ai déjà vu plus moche en NZ, que des nuages blancs d'où le soleil passe sa tête de temps en temps... Grrr.
Cogitation.
On ne s'avoue pas vaincu, on a pas joué à "tous les animaux en A", "tous les animaux en B", " tous les animaux en C" "tous les animaux en D" et je vous laisse imaginer la suite (en Z, y'en a que deux) pour abandonner !!!
On avait réservé la navette pour la randonnée du lendemain, alors quitte à faire un détour (en fait, descendre pour remonter pour redescendre) on réserve pour le jour d'après, soit le mardi.
On part vers le Tongariro, un parc national, où s'élèvent trois volcans : Mont Ruapehu (où l'on avait skié cet hiver), Mont Ngauruhoe et Mont Tongariro.
Cogitation.
On ne s'avoue pas vaincu, on a pas joué à "tous les animaux en A", "tous les animaux en B", " tous les animaux en C" "tous les animaux en D" et je vous laisse imaginer la suite (en Z, y'en a que deux) pour abandonner !!!
On avait réservé la navette pour la randonnée du lendemain, alors quitte à faire un détour (en fait, descendre pour remonter pour redescendre) on réserve pour le jour d'après, soit le mardi.
On part vers le Tongariro, un parc national, où s'élèvent trois volcans : Mont Ruapehu (où l'on avait skié cet hiver), Mont Ngauruhoe et Mont Tongariro.
La nuit avant la randonnée autour du Mont Ngauruhoe (bin oui, forcément, puisque ça s'appelle le Tongariro crossing...) durant entre 6 et 8 heures, on s'est offert le luxe d'un backpacker. Avec Spa, sauna et restaurant...
Pour arriver sur le village, on s'est trompé et on est arrivé à la station de ski du même nom, un tout petit peu plus haut, ville fantôme à cette époque de l'année :
Ensuite, levé tôt, prise de navette ( on aurait pu aller jusqu'au départ en voiture, mais d'après les offices de tourime, c'est hyyyyyyyyyper dangereux, un peu comme si Mangatepopo road était LE repaire de brigands et de voleurs de voitures de la Nouvelle-Zélande, voire du monde... OU alors, un peu comme si les offices de tourisme touchaient des comm' sur les tickets de navette... Dans le doute....)
Le temps était pas trop mal, au début.
On commence la randonée, dans une ambiance plutôt lunaire, volcan oblige.
Puis vient le moment tant attendu... la grande montée. Argh. Pilou avait un peu peur pour moi... Bon là, évidemment, on ne se rend pas bien compte, mais c'était bien ardu et bien dur, pendant 3/4h...
ça, c'est la raison pour laquelle PIlou avait peur...
Après cette mise en bouche, on était beaucoup plus près du volcan...
Ensuite, on traverse une grande plaine, l'impression d'être dans un cratère...
Ensuite, le clou du spectacle, les lacs émeraudes. Enfin, il paraît. Parce que je sais ce qu'on avait fait pour être privé de dessert, mais nous on a pas eu le droit aux lacs émeraudes. Une nappe de brouillard très très épaisse s'est levée juste avant qu'on y arrive, on a pu en appercevoir un bout qques secondes, et puis hop plus rien, on aurait pu passer devant sans se douter de leur présence.
Snif
Et le pire, c'est que une fois partis, en se retournant, on a pu voir que ça se dégageait... et c'est redevenu super clair une fois que l'on a eu grimpé la côte suivante...
Vous voulez voir à quoi ça ressemble, en vrai ? Moi je le sais, j'ai vu des brochures.
Et puis j'ai aussi vu les photos d'Anne-Christine :
Bon aller j'arrête, ça m'énerve !!!!! Ah si encore une, la vue après avoir franchi les lacs :
La même, en plus nuageuse ;-)
Juste après, un autre lac. Celui -là on l'a bien vu, mais il était bien moins exceptionnel...
Ensuite, on s'aventure dans des paysages un peu moins volcaniques, enfin...
Reste toujours la terre qui fume, l'odeur de souffre, les rochers rouges et la rivière à plus de 20°C...
Et puis l'on arrive sur de belles vues en fin de randonnée...
Ensuite, retour à Taupo, avec l'espoir qu'il fasse beau le lendemain matin, histoire de ne pas se taper 200km AR pour rien...
Bon, Taupo, je ne vous cache pas qu'on commence à bien connaître... C'est joli cela dit :
Et puis ça nous a quand même permis d'aller au ciné pour découvrir la salle la plus ridicule du monde, avec 11 sièges, et un écran qu'on déroule.... et puis, quand même, parce que sinon le tableau n'eût pas été complet, ils se sont trompés de film à projeter... alors quelqu'un s'est levé pour aller le dire... et oui, Taupo, ville internationale !
Et là, fin du suspens, surprise.... Pas de saut en parachute... On a commencé à s'en douter quand le bruit de la pluie contre les carreaux de la voiture nous a réveillé...
Et le plus drole, c'est qu'on était près le Samedi, le Dimanche, et le Mardi, et devinez quel jour il a fait un temps superbe ET on aurait pu réserver ?
ET oui, ça commence par un L...
Pour arriver sur le village, on s'est trompé et on est arrivé à la station de ski du même nom, un tout petit peu plus haut, ville fantôme à cette époque de l'année :
Ensuite, levé tôt, prise de navette ( on aurait pu aller jusqu'au départ en voiture, mais d'après les offices de tourime, c'est hyyyyyyyyyper dangereux, un peu comme si Mangatepopo road était LE repaire de brigands et de voleurs de voitures de la Nouvelle-Zélande, voire du monde... OU alors, un peu comme si les offices de tourisme touchaient des comm' sur les tickets de navette... Dans le doute....)
Le temps était pas trop mal, au début.
On commence la randonée, dans une ambiance plutôt lunaire, volcan oblige.
Puis vient le moment tant attendu... la grande montée. Argh. Pilou avait un peu peur pour moi... Bon là, évidemment, on ne se rend pas bien compte, mais c'était bien ardu et bien dur, pendant 3/4h...
ça, c'est la raison pour laquelle PIlou avait peur...
Après cette mise en bouche, on était beaucoup plus près du volcan...
Ensuite, on traverse une grande plaine, l'impression d'être dans un cratère...
Ensuite, le clou du spectacle, les lacs émeraudes. Enfin, il paraît. Parce que je sais ce qu'on avait fait pour être privé de dessert, mais nous on a pas eu le droit aux lacs émeraudes. Une nappe de brouillard très très épaisse s'est levée juste avant qu'on y arrive, on a pu en appercevoir un bout qques secondes, et puis hop plus rien, on aurait pu passer devant sans se douter de leur présence.
Snif
Et le pire, c'est que une fois partis, en se retournant, on a pu voir que ça se dégageait... et c'est redevenu super clair une fois que l'on a eu grimpé la côte suivante...
Vous voulez voir à quoi ça ressemble, en vrai ? Moi je le sais, j'ai vu des brochures.
Et puis j'ai aussi vu les photos d'Anne-Christine :
Bon aller j'arrête, ça m'énerve !!!!! Ah si encore une, la vue après avoir franchi les lacs :La même, en plus nuageuse ;-)
Juste après, un autre lac. Celui -là on l'a bien vu, mais il était bien moins exceptionnel...
Ensuite, on s'aventure dans des paysages un peu moins volcaniques, enfin...
Reste toujours la terre qui fume, l'odeur de souffre, les rochers rouges et la rivière à plus de 20°C...Et puis l'on arrive sur de belles vues en fin de randonnée...
Ensuite, retour à Taupo, avec l'espoir qu'il fasse beau le lendemain matin, histoire de ne pas se taper 200km AR pour rien...
Bon, Taupo, je ne vous cache pas qu'on commence à bien connaître... C'est joli cela dit :
Et puis ça nous a quand même permis d'aller au ciné pour découvrir la salle la plus ridicule du monde, avec 11 sièges, et un écran qu'on déroule.... et puis, quand même, parce que sinon le tableau n'eût pas été complet, ils se sont trompés de film à projeter... alors quelqu'un s'est levé pour aller le dire... et oui, Taupo, ville internationale !Et là, fin du suspens, surprise.... Pas de saut en parachute... On a commencé à s'en douter quand le bruit de la pluie contre les carreaux de la voiture nous a réveillé...
Et le plus drole, c'est qu'on était près le Samedi, le Dimanche, et le Mardi, et devinez quel jour il a fait un temps superbe ET on aurait pu réserver ?
ET oui, ça commence par un L...